J18 Super Ligue Pro : Les Buffles rebondissent

Pour le compte de la 18ème journée de la Super Ligue Pro de Football, ce mercredi 25 mai 2022, Les Buffles ont pris le dessus sur leurs homologues de Ayéma sur un score de 2 buts à 0.

Après une défaite contre Espoir de Savalou et un nul contre l’équipe d’Éternel Fc, dimanche dernier, les Buffles devaient remporter les trois points afin de pouvoir toujours espérer réduire l’écart avec l’équipe de Coton de Ouidah. Chose faite grâce aux hommes forts de l’attaque des Buffles, Moses Asaré et Henry Chiché. Dès l’entame de la rencontre, les Buffles ont affiché leurs envies avec Stone Noumonvi qui après seulement trois minutes de jeu sur une remise de Henry Chiché s’est retrouvé nez à nez avec le gardien de Ayéma. Heureusement pour les anciens coéquipiers de Junior Olaitan, la frappe de ce dernier était trop appuyée. Les Buffles posent ensuite le pied sur le ballon et le confisquent. Leurs efforts seront récompensés à la 25ème minute. Sur un corner repoussé par un défenseur des visiteurs, Stone Noumonvi retrouve Moses qui repique dans l’axe et enroule le ballon à ras le sol. Malgré la détente du gardien adverse, les filets ont tremblé au rythme du premier but de la partie.

Après ce but, les Buffles piègent à nouveau leurs visiteurs dans un faux rythme et leur laissent le ballon. À la 43ème minute, Crépin Allao Abbey trouvé en profondeur, mène à bien un contre et distille un caviar au second poteau à son partenaire Henry Chiché qui crucifie le gardien de Ayema. 2-0, c’était le score à la pause. De retour des vestiaires, les Buffles manquent de justesse le 3-0. Sur un corner obtenu par l’omniprésent Stone Noumonvi, Ajayi et Mouyiwa ne se comprennent pas et laissent filer le ballon alors qu’ils étaient seuls devant les buts de Ayéma. Du côté des visiteurs malgré deux occasions du dossard 2 de Ayéma (63′, 93′), ils rentrent à Pobè avec une défaite 2 buts à 0. Belle opération pour les Buffles de Parakou qui profitent du faux pas de Coton Fc pour réduire l’écart à 6 points désormais.

Célin Dossoumon