Dans le souci d’accroître la visibilité du jeu de la Balle au Tambourin en Afrique, particulièrement au Bénin, la présidente de la Fédération française de la discipline est descendue pour une toute première fois sur le sol béninois. Installée depuis samedi 22 février, Patricia Ganivenq n’a pas caché ses intentions pour l’émergence de ce sport. Elle a insisté sur l’importance de faire régner une bonne ambiance autour de la Balle au Tambourin, en restant une famille, et la nécessité d’œuvrer à faire évoluer le niveau national.
D’après ses dires, sa venue est avant tout l’occasion pour elle de nouer des liens avec les athlètes en se renseignant sur leurs
difficultés de chaque jour pour l’émergence de la discipline. « Pouvoir échanger avec eux, comprendre leur quotidien et partager des moments de complicité est une opportunité unique. Ce voyage est bien plus qu’une simple visite: c’est une rencontre humaine et sportive que j’attends avec beaucoup d’émotion », a-t-elle déclaré. Elle espère voir jouer les tambourins, découvrir leurs faiblesses et points à parfaire.En outre, la présidente de la fédération Française de la Balle au Tambourin a fait savoir son idée de partager ses connaissances techniques et tactiques pour renforcer le niveau de jeu des athlètes, tout en confiant qu’elle a apporté du matériel à ces derniers. « Nous apportons également du matériel pour soutenir leur pratique et leur permettre de continuer à progresser », a-t-elle révélé. Par ailleurs, Patricia Ganivenq ne s’est pas empêchée de reconnaître l’esprit compétitif et dynamique et la détermination des joueurs béninois, qu’elle espère voir participer au championnat du monde en salle de 2026 et afficher de belles statistiques comme le cas en 2024 en Italie.
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