Football – Licence D par la Fbf : Anif souhaite la délocalisation de la formation vers le Centre et le Nord du Bénin
Mieux vaut tard que jamais, dit-on ! Sept (7) ans après l’organisation au Bénin de la Licence D, la…
Mieux vaut tard que jamais, dit-on ! Sept (7) ans après l’organisation au Bénin de la Licence D, la Fédération Béninoise de Football (Fbf) revient à la charge. En effet, Mathurin de Chacus et son équipe ont lancé, ce mercredi 17 novembre 2021, un avis d’appel à Candidature pour l’entrée en formation de la Licence d’entraîneur de football « D », Édition 2021-2022. Juste après, l’Association nationale des initiatives de formation (ANIF) s’est réjoui de la décision prise par la Fbf, mais fait une importante suggestion au Comité exécutif.
Communiqué de presse
L’association Nationale des Initiatives de Formation (ANIF) a appris avec grande satisfaction, la décision prise par la Fédération Béninoise de Football relative à l’organisation d’une formation diplômante au profit des encadreurs techniques. Après sept (07) années de léthargie, la FBF donne enfin l’opportunité aux sportifs désireux de faire carrière comme entraîneur de football, de passer le premier diplôme. L’association Nationale des Initiatives de Formation qui s’est investie depuis l’année 2018, à organiser dans tous les départements du Bénin, des formations préparatoires aux diplômes d’entraîneur »National D », exhorte tous les encadreurs locaux à consentir tous les sacrifices nécessaires afin d’être au rendez-vous pris par la Direction technique nationale.
L’ANIF félicite tous les membres du Comité exécutif de la FBF et le Directeur technique national pour cette initiative et exprime sa disponibilité à accompagner d’une manière ou d’une autre la réalisation de ce programme qui a terme, permettra au Bénin de disposer de plusieurs centaines d’encadreurs diplômés. Cependant, l’ANIF souhaite auprès du Comité exécutif de la FBF, la délocalisation de la formation vers les régions du Centre et du Septentrion afin de permettre à nos compatriotes de ces régions de ne pas être lésés.
Sosthène Sèflimi, Président ANIF
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