Monday, November 25, 2024
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4 ans de gestion du sport : Les Fédérations sportives mieux soutenues



 

Les Fédérations sportives au Bénin sont mieux soutenues et accompagnées depuis 4ans. En effet, sous le régime du Président Patrice Athanase Guillaume Talon, le sport béninois bénéficie d’un financement conséquent. Ceci grâce au leadership du ministre des sports Oswald Homéky. Ainsi, on peut sans se tromper dire que le Chef de l’Etat ne s’est pas trompé en lui confiant ce porte-feuille ministériel au sein de son Gouvernement.

 

Car, c’est bien connu que l’argent est le nerf de la guerre. Et dans le domaine sportif, secteur aux intérêts hautement financiers, l’argent est doublement important pour remporter des victoires et atteindre des objectifs. Au Bénin, l’échec de la filière sportive en général est en grande partie dû à un manque de moyens. Entre prévarication et mauvaise gestion, le secteur avait besoin de réformes. Aussi, afin de permettre aux fédérations sportives de jouer pleinement leurs missions, était-il indispensable de les doter de moyens ; surtout de moyens financiers. Dès son installation donc, l’équipe dirigée par le Ministre Oswald Homéky entreprit de mettre très rapidement à la disposition des fédérations sportives, de moyens colossaux. Avec la diligence suscitée par le Chef de l’Etat Patrice Talon et son Gouvernement, les montants des subventions allouées aux différentes fédérations béninoises sont substantiellement revus à la hausse chaque année depuis 2016. Et pour plus d’équité et d’émulation, la part octroyée à chacune d’elles est fonction de son rayonnement et de ses performances.

 

Ainsi et à titre illustratif, le montant des subventions, qui était de 79 500 000 F CFA en 2016 à l’arrivée au pouvoir du Président Talon, est passé successivement à 502 000 000 F CFA en 2017, puis à 553 000 000 F CFA en 2018. 100 millions F CFA supplémentaires seront décaissés en 2019, portant le total à 653 000 000 F CFA. Une vraie bouffée d’air pour les clubs qui se sentent en jambe désormais pour aller aux compétitions internationales.

 

Par ailleurs, en guise d’accompagnement aux fédérations sportives, une mesure de haute portée symbolique portée par le Ministre Homéky est adoptée par le Gouvernement béninois : il s’agit de l’extension de la dispense de paiement de la Taxe pour le Développement du Sport (TDS) aux financements accordés aux fédérations sportives. Elle a été formalisée par le biais de la loi 2019-46 du 27 Décembre 2019 portant loi des finances pour la gestion 2020 en son article 293, alinéa 2 qui stipule : « Sont dispensées du paiement de la taxe pour le développement du sport, les grandes entreprises qui réalisent des dépenses de fonctionnement ou d’investissement au profit des fédérations sportives bénéficiant des subventions de l’État, pour un montant supérieur ou égal à la taxe à acquitter ». Il s’agissait, par cette idée, d’intéresser ces entreprises à la promotion du sport comme c’est le cas dans de nombreux pays occidentaux. De nombreux clubs sportifs y sont la propriété de grandes entreprises, aussi bien publiques que du secteur privé.

 

Avant Avril 2016 et l’arrivée du Régime de la Rupture, on notait l’inexistence d’un mécanisme de financement du sport par le secteur privé. Depuis 2019, les grandes entreprises contribuent désormais au financement du sport, à hauteur d’un pour mille (1/1.000) de leurs chiffres d’affaires hors toutes taxes. A en croire le Ministre Oswald Homéky, « cette mesure a été prise dans le but de susciter l’intérêt du secteur privé à la professionnalisation du sport dans notre pays d’une part, et à la propriété ou la copropriété des Associations et clubs sportifs par les entreprises d’autre part. Certaines entreprises sont avancées dans le processus de mise en place de clubs professionnels ». Enfin, toujours au nombre des réformes courageuses engagées par le Ministre des Sports, on peut noter l’instauration d’un meilleur suivi de la gouvernance des Fédérations. Ce qui exige d’elles, l’organisation régulière et correcte, chaque année, des championnats départementaux et nationaux.

 

Source : First Magazine Afrique

 

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